» La Grande Femme, la Nuestra Senora, la Mère compatissante… ainsi nomme-t-on par le monde la Vierge Marie.
Pour Clarissa Pinkola-Estés, c’est Notre Dame de la Guadalupe. Elle est devenue une figure emblématique du Mexique. Derrière la ferveur populaire nous apparaît l’autre visage de « la Mère » toute-puissante, la Grande Mère que nous, les humains, cherchons et qui nous relie, à travers les siècles, aux déesses-mères fondatrices.
L’autrice appelle à libérer en chacun de nous la « femme puissante », la guerrière protectrice de la Vie, qui inspire nos plus hautes actions de compassion. Ce texte plein d’amour, hymne à la figure mariale, ancré dans une foi profonde, est transcendé par une écriture poétique, un ton chaleureux et altruiste. »
Lu récemment et je suis encore dubitative.
C’est bien simple, je ne sais même pas pourquoi je fais un billet sur ce livre tant je ne sais absolument pas quoi en penser🤪
Autant il recèle de passages sublimes, autant d’autres m’ont été parfaitement obscurs et je cherche encore où voulait nous emmener l’autrice.
De plus, je m’attendais à un ouvrage très féministe, il l’est à sa manière, mais ce que je retiens surtout c’est à quel point il est marqué par le religieux.
Si la question ne me pose aucun problème, elle peut en rebuter certaines.s.
Dans ma PAL, j’ai Femmes qui courent avec les loups de cette autrice que j’aimerais beaucoup lire.
Quelle a été votre expérience avec ce livre si vous l’avez lu ?
Les Petites Lectures de Maud 
Désormais je ne me force plus à écrire une chronique quand un livre reste trop obscure ou quand je ne sais pas trop quoi en penser….. 🙂
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En tout cas je suis assez effrayé par le portrait de couverture avec cette femme entourée de ces espèces de piquants de glace ? Aucune chance que je tourne les pages surtout avec cette chronique déboussolée. Ça m’arrive également le mauvais choix… Mais rarement.
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