
Je ne suis pas près d’oublier Orren et Aloma💓
Deux jeunes gens livrés à eux-mêmes. Seuls.
Et qui vont fonder un couple.
Aloma, orpheline, passionnée de piano, élevée dans un orphelinat catholique.
Orren, fils d’un fermier du Kentucky.
De jeunes amoureux insouciants, leur vie bascule vers un couple aux lourdes responsabilités, lorsque la famille d’Orren meure brutalement dans un tragique accident de voiture.
Seul, il doit reprendre la gestion de la ferme et de la plantation de tabac.
Il propose à Aloma de venir vivre avec lui.
Dans ces lieux inconnus, face à des responsabilités inconnues, Aloma va devoir trouver sa place.
Tiraillée entre son besoin de liberté et les nouvelles exigences auxquelles elle doit faire face, elle va devoir faire des choix et grandir.
A la fois roman d’apprentissage et portrait de femme, de couple, ce roman a été pour moi un magnifique moment de lecture.
La plume, évocatrice et immersive, vous plonge rapidement et intensément dans les tourments de ces deux jeunes gens.
Comment vivre à deux sans perdre sa liberté ?
Comment faire face aux exigences de la vie quotidienne, de la vie d’adulte, sans renoncer à ses passions et à ce que nous sommes ?
Une réflexion intéressante, sans idéalisation, avec toutes les contradictions que nous portons et les exigences, les responsabilités auxquelles nous devons faire face.
J’ai aimé la puissance évocatrice de la plume de l’auteur. On sent tout : les sentiments, les odeurs des plantations de tabac, de la ferme, de la sueur et des larmes.
Un roman marquant qui m’a évoqué la force évocatrice de Steinbeck.
Steinbeck est mon écrivain préféré, alors c’est vous dire si je pèse mes mots…
Une magnifique découverte et un beau coup de cœur rendu possible grâce à mon amie Jessica du compte @le_maitre_mot sur Instagramm.
Merci ma belle pour ce beau moment, comme d’habitude tu touches juste : au cœur.
Beaucoup aimé et j’ai dans ma PAL son premier roman 😉
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Oui, il parait qu’il est pas mal du tout non plus… Bonne lecture !
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Pas pour moi, mais on ressent bien ta passion !
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Merci Nath ! On ne peut pas tout aimer, c’est légitime. Bonnes lectures à toi !
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