
« » Il y a une Venise de l’évidence et une Venise invisible qui refuse de livrer ses secrets : Celle des églises, jamais ouvertes. Pourquoi sont-elles inaccessibles ? Jean-Paul Kauffmann a essayé de forcer ces portes solidement cadenassées où des œuvres dorment dans le silence. »
🎭 Venise 🎭
Abandon !
Ça avait pourtant bien commencé entre M.Kauffman et moi.
Durant les 100 premières pages, il savait me parler de cette Venise que j’aime tant. L’émerveillement que l’on ressent lors de sa découverte est parfaitement transcrit par l’auteur. Cette impression de magnificence qu’elle nous laisse est saisie avec justesse.
Mais rapidement, sa quête d’ouverture des Églises fermées m’a totalement lassée, perdue. J’ai fini par ne plus comprendre où il voulait en venir.
J’ai trouvé que l’auteur parlait beaucoup de lui et faisait un peu étalage de sa culture, certes intéressante, mais il n’a pas su y mettre ce petit truc en plus qui parvient à t’embarquer par tant d’érudition.
De plus, j’ai le sentiment que cet essai ne peut pleinement s’apprécier que si Venise ne vous est pas totalement inconnue, si les ruelles, les musées, les palais et les Églises évoquées vous rappellent ce qui s’est imprégné dans vos rétines en déambulant dans la Sérénissime.
J’ai eu la chance de les parcourir ces ruelles, mais j’ai demandé grâce au bout de 200 pages. En cette période si particulière, j’ai besoin d’être embarquée, pas assommée ou du moins endormie.
Dommage, car je plaçais beaucoup d’espoir dans cet essai encensé à sa sortie.
Je le reprendrai peut-être un jour…
Tu l’as lu ? Aimé ? Et si oui, pourquoi ? (T’as le temps de me répondre t’es confiné)
Pas lu mais même si j’ai eu la chance d’y séjourner, pas très attirée par ton ressenti 😉
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J’ai le temps de répondre effectivement… mais je n’ai pas lu ce livre… Ta chronique, très bien tournée, ne m’incite pas à le faire. Elle me donne envie de retourner me promener dans les ruelles de cette cité si extraordinaire ! Belle journée à toi. Alain
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