
» 1913, un paquebot quitte l’Europe. A son bord, trois jeunes en quête d’une seconde chance.
Rosetta, jeune femme indépendante et rebelle, fuit son village italien. A la mort de ses parents, harcelée et violentée par la pègre, ayant perdu son honneur, elle n’a eu d’autre choix que d’abandonner la ferme familiale.
Rocco, fier et fougueux jeune homme, laisse derrière lui sa Sicile natale. Il cherche à échapper à la Mafia locale, à laquelle il a refusé de se soumettre.
Raquel, petite juive russe, a vu toute sa famille décimée dans un pogrom. Elle n’emporte avec elle que le souvenir de l’amour que lui portaient ses parents.
Le nouveau monde les réunira. «
Dans ce roman, un des personnages de Luca Di Fulvio dit : » On a toujours besoin de quelqu’un qui sache raconter une histoire différente. C’est seulement ainsi que les choses peuvent changer. Le futur a besoin d’histoires. »
Eh bien M. Luca Di Fulvio, ce quelqu’un dont on a besoin, c’est vous. Le futur a vraiment besoin de vous en littérature pour continuer à nous faire rêver, vibrer, croire qu’un monde meilleur est possible et espérer.
Avec vous, tout semble être possible, l’espoir est là, entre vos lignes, sans mièvrerie et sans facilité.
Mais avec force et humanisme.
J’ai terminé ce roman en pleurs. Littéralement. Une multitude de sentiments se chevauchent en moi, et pour être honnête, je ne parviens pas à faire une chronique objective ou ne serait-ce qu’une chronique tout court de ce roman, tant il me bouleverse en tant qu’Humaine, mais aussi sur un registre plus personnel.
Juste merci Luca Di Fulvio pour ce grand moment d’humanité partagée.
Une histoire universelle portée par un puissant souffle romanesque et une humanité débordante. Je défie quiconque de ne pas être touché par ce roman !